- Une revue numérique d’un genre inédit, dédiée à la pratique de la ville et diffusée en double format PDF (pour ordinateur) et epub (pour iPad).
- Des auteurs venus de toutes disciplines : architecture, urbanisme, photographie, arts numériques, littérature, sociologie, géographie, etc…
- Des contributions de tout ressort numérique : écriture, estampe, portfolio photographique, application en ligne, son, vidéo…
- 714 pages en format PDF, création graphique d’Alexandre Franc, monté en format à l’italienne 30×18 cm.
- Un epub conçu par Gwen Catalá avec tous les enrichissements possibles pour une lecture agréable sur iBooks dans l’iPad.
- Édition sans DRM et à un prix de 2,99€.
- Diffusion par les circuits du livre numérique, en fonction des acceptations du format epub par les différentes plateformes et books stores.
- Date de parution : premier trimestre 2012.
- Direction, coordination, secrétariat de rédaction et mise en pages : Matthieu Duperrex et Claire Dutrait
Un Nø City Guide est un corpus d’écritures plurielles qui emprunte à toutes les bibliothèques sans se rattacher à la tradition universitaire des revues pour autant. S’il y a bien constitution d’une monographie, celle-ci revendique une subjectivité assumée, en dehors des systèmes de légitimité que s’impose le domaine de la recherche.
Un Nø City Guide donne à voir, à sentir et à comprendre au lecteur une ville kaléidoscopique, par le biais d’approches fragmentaires qui soient autant d’invitations à s’y tracer des perspectives individuelles : dialogues, parcours, grilles de lecture, cartes, critiques architecturales, instants croqués en images ou en poèmes…
- 6 séquences annoncées par 6 éditos architecturent l’ouvrage et participent d’une imprégnation de la ville qui va de la plus lointaine à la plus intérieure : Mythologies (l’imaginaire premier du nom de Shanghai), Épreuves (l’expérience fondatrice de la rencontre avec ses rues, ses gens…), Allures (les rythmes et vitesses de Shanghai), Seuils (les ruptures et confrontations à l’œuvre dans la ville), Contrefaçons (les faux-semblants qui s’y jouent, notamment dans son rapport au monde Occidental), Dérives (la poétique de la flânerie qu’elle impose finalement).
- 4 tables des matières rassemblées en une « Table des tables » permettent à chacun de privilégier un type d’entrée dans la revue : une table des séquences, une table des catégories propres à Urbain, trop Urbain, une table du temps pour suppléer à l’absence d’épaisseur du folio, une table encyclopédique pour entrer par discipline.
- 65 contributions, toutes précédées d’un châpo qui ouvre une chambre d’écho entre l’univers de chaque auteur et celui de l’éditeur : 350.000 signes, 300 photos, 9 vidéos ou bandes son, 50 dessins et plans…
- Quelque 150 adresses adressées par les auteurs au lecteur, pour découvrir d’autres Shanghai…
- Des milliers d’hyperliens : internes et sortants, invitant à naviguer dans le revue, à s’y perdre et se raccrocher à l’ancre de page : le caractère de Shanghai.
… tout cela rendu possible grâce à l’engagement et au travail de 50 contributeurs, 3 traducteurs (du chinois, anglais, italien, espagnol), une conseillère scientifique sur Shanghai, deux secrétaires d’édition (pour le chinois et le pinyin), trois informaticiens, un graphiste, un comité éditorial de 7 personnes, un soutien éditorial, deux éditeurs.
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