Articles par
Marie-Francoise Govin
L’abribus
J’aime ces moments où le temps de l’imaginaire se décroche du temps des gestes. Un frémissement des espaces dérègle les synchronismes; sensations et émotions s’y engouffrent, le coutumier est mystérieux, source d’histoires qu’on se raconte à soi-même. En marchant sur le trottoir.