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Aujourd’hui, samedi 30 septembre 2017, cela fait exactement cinquante ans que l’artiste Robert Smithson s’est rendu au Port Authority Building, à l’angle de la 41e rue et de la 8e avenue, et a pris un aller simple pour Passaic, New Jersey.

Ce colloque envisage d’appréhender les paysages – naturels, anthropisés et artistiques – selon leur structuration à partir de lignes et de formes géométriques.

Du mercredi 30 août au mercredi 6 septembre 2017 se tient au Centre Culturel International de Cerise-La-Salle un grand colloque autour de l’œuvre d’Augustin Berque. L’objet de ce colloque n’est pas de revenir sur le concept d’anthropocène; c’est de proposer, avec la mésologie, la définition d’un autre paradigme que celui de la modernité.

Le grand plateau d’exposition du MuCEM (Marseille) a accueilli du 21 mars au 15 août 2017 une exposition consacrée à l’économie des déchets en Méditerranée. « Vies d’ordures » vient de fermer. Les chiffres communiqués sont plus que satisfaisants dans l’histoire du MuCEM. 129.195 visiteurs exactement s’y sont rendus.

Comment donner à voir des pollutions invisibles ? Comment les mesurer, comprendre leur nature, leur dangerosité ? Le collectif Urbain, trop urbain participe à une soirée spéciale, le vendredi 28 avril, consacrée aux manières artistiques et/ou scientifiques de nous rendre sensibles ces zones critiques où le déchet devient paysage.

La revue « Sciences de la société » vient de faire paraître son dernier numéro qui entreprend de décrire, dans toute sa complexité, le phénomène de la marche urbaine. Il passe du point de vue de l’écrivain à celui de l’urbaniste, de celui de l’architecte à celui du sociologue ou encore du designer…

Le MuCEM accueille une exposition consacrée à l’économie des déchets en Méditerranée, avec un angle de présentation inédit, fondé sur des enquêtes ethnographiques réalisées en Turquie, en Albanie, en Égypte, en Italie, en Tunisie, au Maroc ou dans le Sud-est de la France…

Cette exposition met en jeu des regards d’habitants sur leur ville, des travaux de recherche et de création in-situ d’artistes d’horizons pluridisciplinaires et des études scientifiques de l’impact des industries sur le vivant du territoire.
Parmi les chefs d’œuvre du genre, le fabuleux et énigmatique film de Nicholas Ray et Budd Schulberg, “La forêt interdite” (1958)

Les Journées du film sur l’environnement s’ouvrent cette année sur une programmation réflexive, fondée sur les quelque 550 films qui ont été réunis sur le sujet au travers des précédentes éditions.

Mississippi Riverbook est un projet numérique. Nous allons dérouler sur le web un grand paysage. Nous voulons retrouver la magie des panoramas mobiles du début du dix-neuvième siècle. Première étape ici décrite : le rouleau de peinture.