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écologie

Échange entre Matthieu Duperrex et Jean-François Vian sur les enjeux anthropocènes liés à notre rapport aux sols. Une discussion radiophonique animée par Joan Casanelles, enregistrée le 29 janvier 2020 durant la semaine “À l’école de l’Anthropocène” organisée par l’École Urbaine de Lyon.

Sur les rives du chenal de Caronte, une conversation marchée avec Matthieu Duperrex et ses invitées, en forme d’émission radiophonique animée par Emmanuel Moreira pour Radio-Grenouille. L’événement a lieu le samedi 22 juin à Martigues.

Matthieu Duperrex publie aux éditions Wildproject « Voyages en sol incertain. Enquête dans les deltas du Rhône et du Mississippi. » L’occasion où jamais pour un entretien-fleuve, en vidéo.

On propose ici de prendre à revers la thèse heideggérienne selon laquelle «l’animal est pauvre en monde». Cette théorie est traversée d’un dualisme symptomatique de la Modernité. L’acosmie prêtée à l’animal devient alors plutôt un paradigme utile pour décrire le «cercle de désinhibition» qui régit cette Modernité, notamment avec l’avènement de l’anthropocène.
Aujourd'hui Eurydice

Claire Dutrait publie son premier roman, Aujourd’hui Eurydice, une œuvre ouverte, prise entre un livre papier, un livre numérique (avec boucles rétroactives), un site « avant-scène » et des performances…

On lit cette enquête d’Anna Tsing parce qu’elle rend optimiste sur la possibilité d’instaurer des relations viables, quoique fragiles, dans un monde qui semblait voué à disparaitre, et que les notions mises en jeu permettent de le lire avec un œil dégagé de sa taie de fatalisme.

Ce colloque international réunit des artistes, designers, architectes et chercheurs qui développent une réflexion sur les manières d’intégrer le vivant dans des projets en art, en design et en architecture.

On peut enterrer les abeilles une fois les fleurs disparues et les laisser ainsi jusqu’à leur retour.

Lors de la seconde moitié du vingtième siècle, notamment aux États Unis, des artistes ont entrepris de faire œuvre en explorant, avec les outils qu’ils avaient à disposition – essentiellement la voiture et la photographie –, la banalité des bordures de ville et des paysages altérés par l’industrie. Le Choc pétrolier allait à son tour changer la donne et inciter au développement d’une esthétique « environnementale ». Prenant appui sur cette histoire ainsi que sur les œuvres proposées dans le cadre du projet “Port-de-Bouc, Une épopée collective”, cette conférence illustrée porte sur les enjeux de la représentation contemporaine du territoire et des récits inventés aux marges de l’urbain.
Parmi les chefs d’œuvre du genre, le fabuleux et énigmatique film de Nicholas Ray et Budd Schulberg, “La forêt interdite” (1958)

Les Journées du film sur l’environnement s’ouvrent cette année sur une programmation réflexive, fondée sur les quelque 550 films qui ont été réunis sur le sujet au travers des précédentes éditions.