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juillet 2015
Suivez la parade
La Parade, de Mehdi Ahoudig et Samuel Bollendorff: un conte documentaire vous emmène à la découverte des cultures populaires du Nord.
Abandoned couch
Le canapé abandonné sur le trottoir expose une valeur d’usage domestique dans l’espace public. C’est un morceau d’intérieur dont le style contrevient souvent à l’architecture de la ville.
The short-term
Nous autres Modernes, n’avons jamais raisonné autrement qu’en projection. Nous sommes la civilisation de la perspective, la distorsion est notre réalité, le diagramme de proportion est notre instrument de connaissance. Nous avons fait du voyage de la Renaissance une translation géométrique.
Kalaallit Nunaat
Si le Groenland est bien une île, alors c’est une île curieuse, qui en contient une infinité dans ses plis. C’est une géographie fractale, c’est une monade.
Un nouveau projet sur l’anthropocène
Longtemps cultivé à l’état d’intuition rêveuse, ce projet d’écriture plurimédia prend enfin consistance. Il s’agit d’une enquête subjective sur l’anthropocène menée à la Nouvelle Orléans et dans les territoires du sud de la Louisiane.
Paysages à collectionner
Par leur conformation, la sculpture de leur écorce et l’étagement de leurs strates, nous ne pouvons qu’inférer à la naissance de certains paysages le dessein singulier d’une forme d’intelligence ancienne.
Le boudoir2.0 s’installe à Arles
Projet à l’initiative de notre amie Annakarin Quinto, leboudoir2.0, laboratoire d’images concrètes, se réunit pour la première fois à Arles, du 6 au 12 juillet 2015.
Lotville, landscape of desire
Lotville, des architectes de Raumlaborberlin, propose une architecture jouissive et transparente, à pratiquer dans le secret paysage de l’in-betweenness.
En ce monde pour le déclin
La passion qui existe en ce monde pour le déclin, l’impulsion à tomber qui succède au jaillissement de la fontaine.
Les années sauvages du Corbu
«Ce Piquey est plein d’une vie saine, calme à l’échelle. À l’échelle humaine ; cela tout est là, c’est cela que les civilisations détruisent, plongeant les hommes dans l’artifice et les malheurs.»