Articles répertoriés pour

numérique

La carte de navigation du livre

L’ouvrage de Matthieu Duperrex existe désormais en version numérique aux éditions de La Marelle, une occasion de proposer une présentation inédite de cette enquête entre deux deltas où l’image a constitué un ressort essentiel pour la création littéraire.
Rouleau mississippi

Mississippi Riverbook est un projet numérique. Nous allons dérouler sur le web un grand paysage. Nous voulons retrouver la magie des panoramas mobiles du début du dix-neuvième siècle. Première étape ici décrite : le rouleau de peinture.
Urbain-Logo-retina

Par la description du parcours de Urbain, trop urbain, cet article éclaire la relation entre un projet éditorial (écrire sur la ville contemporaine), un média (le Web) et des écritures.
Arte Lens

À l’occasion de l’ouverture du Louvre-Lens, ARTE Web inaugure ses «Carnets de villes», des sites Internet de création qui ont pour arrière-fond l’imaginaire aménageur de villes françaises. Urbain, trop urbain accompagne ces réalisations poétiques et sensibles en qualité de conseil éditorial.
L’argent. C’est la matière première et dernière

Le Shanghai Nø City Guide sorti au mois de février recèle une contribution d’Omer Pesquer qui déborde la clôture du livre, fût-il numérique, pour s’exprimer pleinement sur le Web. «Shanghai en folie» est un magnifique témoignage du renouvellement de nos écritures urbaines, par jeu et essaimage.
MAP-Taipei-©Aram Bartholl

Un Pecha Kucha qui aurait pour thématique la «ville numérique»? Urbain, trop urbain a répondu à l’invitation de l’Esplanade et ensemble, nous réunissons quelques amis ce vendredi, à Toulouse. Venez nombreux, entrée libre et ciel dégagé.
Dead drop

Utopie de la déconnexion portée par des addicts du branchement et du partage, grand voyage immobile des créations: le Dead drop fonctionne a rebours du «cloud», c’est à dire de la dématérialisation, de l’éclatement et de l’accessibilité en ligne des données. Les prothèses numériques sortent dans la rue, déconnectées du réseau Internet.
Ouvriers admirant le pont Waibadu et la Pearl Tower, mis en lumière par Citelum ©Urbain, trop urbain

J’ai récemment pu voir à Shanghai — autrefois surnommée le «Paris de l’Asie» — combien la fantasmagorie de la «ville lumière» demeure encore sensible, depuis l’inauguration de l’Exposition universelle de Paris, en 1900, et son Palais de l’électricité, au sommet duquel caracolait de mille feux un «Génie» éponyme.