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Lignes

Lignes de forces ou d’horizon, lignes de front ou de fuite… Ce que prendre position veut dire.

L’exposition collective « Reset Modernity ! », dont le commissariat était assuré par Bruno Latour, Martin Guinard-Terrin, Christophe Leclercq et Donato Ricci, présentée au ZKM (Centre d’art et de technologies des médias) de Karlsruhe, en Allemagne, s’est tenue du 16 avril au 21 août 2016.

À Urbain, trop urbain nous considérons que la pratique des espaces urbains les plus ingrats en apparence est toujours l’occasion de «faire lieu», c’est-à-dire de délivrer un sens par-delà le déficit premier de fiction, d’appropriation sociale et de culture.

À l’initiative de Raumlabor, Le colloque « Lotville Now ! » invitait à la discussion des personnalités aussi différentes que Renée Gailhoustet, Sébastien Martinez Barat et Hans-Walter Müller.

Par la description du parcours de Urbain, trop urbain, cet article éclaire la relation entre un projet éditorial (écrire sur la ville contemporaine), un média (le Web) et des écritures.

Tribune publiée dans « Libération » en vue du débat «Dessine-moi une ville comme il faut!» où Urbain, trop urbain proposera une série de réflexions d’écologie politique tirées de l’enquête Micromegapolis.

De l’acte de naissance de l’Internationale Lettriste à la dissolution de l’Internationale Situationniste, Paris change de visage, ce dont témoignent les situationnistes, ces artistes, activistes, voyous, agitateurs et intellectuels qui, eux, n’ont pas varié d’attachement pour cette ville.

Le choix de lire cette bande dessinée de Hergé à l’aide de Foucault n’est pas arbitraire puisque les concepts auxquels nous nous référons ont presque toujours été élaborés à partir de l’observation et de l’analyse de pratiques sociales se manifestant, on le sait, à travers des « discours »… Mais ce parti théorique ne nous dédouane pas de l’exercice de style. Nous assumons la dimension ludique de cette philosophie appliquée.

Avec l’habitant défini comme « usager » de la ville, se dessine une ville métaphorique par ses usages, qui se superpose à la première, bien matérielle, et la réfléchit par les pratiques de l’espace. Une compétence de l’espace appartient à l’habitant