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Lotville, des architectes de Raumlaborberlin, propose une architecture jouissive et transparente, à pratiquer dans le secret paysage de l’in-betweenness.

La passion qui existe en ce monde pour le déclin, l’impulsion à tomber qui succède au jaillissement de la fontaine.

«Ce Piquey est plein d’une vie saine, calme à l’échelle. À l’échelle humaine ; cela tout est là, c’est cela que les civilisations détruisent, plongeant les hommes dans l’artifice et les malheurs.»

Urbain, trop urbain a le plaisir d’être lauréat, en compagnie de Encore heureux, mandataire, Collectif Etc & Genghis Studio, d’une direction artistique et scénographique au MuCEM.

Par la description du parcours de Urbain, trop urbain, cet article éclaire la relation entre un projet éditorial (écrire sur la ville contemporaine), un média (le Web) et des écritures.

Composante du projet Périph’Strip, une série de marches artistiques sur le périphérique de Toulouse, le récit polyphonique « Périphérique intérieur », paru fin 2014, fait l’objet de quelques manifestations de début d’année.

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