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Hella Jongerius. Daylight Colour Wheel, 2011. FNAC 2015-0061, Centre national des arts plastiques © Hella Jongerius – Cnap

Conçue dans le cadre de la saison culturelle Paysages Bordeaux 2017, l’exposition “Oh couleurs !” se tient au Musée des arts décoratifs et du design de Bordeaux du 29 juin au 5 novembre 2017. En s’interrogeant sur le sujet sans fin de la couleur, Constance Rubini, la directrice du MADD, choisit d’effacer délibérément les frontières entre art et design, architecture et cinéma…
Sunken Garden, Londres, 2009 - 2011 © Bureau Bas Smets

La forme suit la logique de la nature et, ensuite, permet la fonction. Bas Smets nous expose son travail, qui prolonge à la fois celui des peintres classiques (qui inventèrent la notion de paysage) et celui des artistes conceptuels, en créant un espace de liberté, au-delà de l’image, pour nous aider à réinventer le monde, au-delà de ses représentations.
Kôbé, 17 janvier 1995: effondrement de l'autoroute du Hanshin

Du mercredi 30 août au mercredi 6 septembre 2017 se tient au Centre Culturel International de Cerise-La-Salle un grand colloque autour de l’œuvre d’Augustin Berque. L’objet de ce colloque n’est pas de revenir sur le concept d’anthropocène; c’est de proposer, avec la mésologie, la définition d’un autre paradigme que celui de la modernité.
Le jeune public au rendez-vous

Le grand plateau d’exposition du MuCEM (Marseille) a accueilli du 21 mars au 15 août 2017 une exposition consacrée à l’économie des déchets en Méditerranée. « Vies d’ordures » vient de fermer. Les chiffres communiqués sont plus que satisfaisants dans l’histoire du MuCEM. 129.195 visiteurs exactement s’y sont rendus.
Norco, Louisiane – ©Urbain, trop urbain

Et si Elisée Reclus écrivait aujourd’hui des cartes postales d’Amérique à son frère Élie ? Quelles seraient ses observations ? Une petite fiction sur le paysage et sur l’esthétique de l’anthropocène… Une communication donnée lors du colloque international « Postcard from the Anthropocene », University of Edinburgh.
Fos-sur-mer depuis la plage de Piémanson ©Urbain, trop urbain

Comment donner à voir des pollutions invisibles ? Comment les mesurer, comprendre leur nature, leur dangerosité ? Le collectif Urbain, trop urbain participe à une soirée spéciale, le vendredi 28 avril, consacrée aux manières artistiques et/ou scientifiques de nous rendre sensibles ces zones critiques où le déchet devient paysage.
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