Archives

mars 2017

Manshiyat Naser, Le Caire – ©David Degner

Pourquoi l’économie des déchets ne peut-elle se présenter, sinon de façon illusoire, comme résolution ou achèvement d’un cycle? Parce que le résidu est non seulement l’envers de la production capitaliste, mais qu’il relève aussi d’une hétérogénéité irréductible, qui exige que nous sortions des schémas de l’économie restreinte.
Entrée d’exposition avec l’œuvre de Nils Völker, Sixty, 2017 — ©Matthieu Duperrex

L’exposition-recherche présentée au MuCEM de mars à août 2017, intitulée « Vies d’ordures » traite de l’économie des déchets en Méditerranée. Elle raconte nos modes d’échanges avec les déchets, ce qui circule de nous à eux, l’énergie qu’ils nous font dépenser et celle qu’ils nous font gagner, les spéculations dont ils font l’objet, les pertes irrémédiables qu’ils génèrent, et nous avec.
Peripherique-interieur 18

La revue « Sciences de la société » vient de faire paraître son dernier numéro qui entreprend de décrire, dans toute sa complexité, le phénomène de la marche urbaine. Il passe du point de vue de l’écrivain à celui de l’urbaniste, de celui de l’architecte à celui du sociologue ou encore du designer…
Pickup à Manshayet Nasr, le Caire ©David Degner

Le MuCEM accueille une exposition consacrée à l’économie des déchets en Méditerranée, avec un angle de présentation inédit, fondé sur des enquêtes ethnographiques réalisées en Turquie, en Albanie, en Égypte, en Italie, en Tunisie, au Maroc ou dans le Sud-est de la France…
Enterrer les abeilles

On peut enterrer les abeilles une fois les fleurs disparues et les laisser ainsi jusqu’à leur retour.