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urbain

Louisiana Story, par Robert Flaherty. N&B 78 minutes. 1948

Entre Camargue et Louisiane, le 4 février, une séance au cinéma Le Méliès de Port-de-Bouc, à l’initiative de Matthieu Duperrex, auteur en résidence à La Marelle, avec la complicité de Film Flamme Le Polygone étoilé.
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Poétique des sols et du sédiment — une proposition de Matthieu Duperrex — rencontre à la galerie La Ville Blanche, Marseille, le mercredi 20 janvier à 19h.
Carte géologique à 1/50.000 “Istres, XXX-44-45: La Crau”, B.R.G.M, 1975

Matthieu Duperrex, adossé à «Urbain, trop urbain», est le lauréat de l’édition 2015 de la résidence d’écriture numérique de La Marelle. S’ouvre aujourd’hui cette résidence, à la Friche de la Belle de Mai.
2004-Southeast-Louisiana-Land-Loss

Longtemps cultivé à l’état d’intuition rêveuse, ce projet d’écriture plurimédia prend enfin consistance. Il s’agit d’une enquête subjective sur l’anthropocène menée à la Nouvelle Orléans et dans les territoires du sud de la Louisiane.
Le MuCEM

Urbain, trop urbain a le plaisir d’être lauréat, en compagnie de Encore heureux, mandataire, Collectif Etc & Genghis Studio, d’une direction artistique et scénographique au MuCEM.
Urbain-Logo-retina

Par la description du parcours de Urbain, trop urbain, cet article éclaire la relation entre un projet éditorial (écrire sur la ville contemporaine), un média (le Web) et des écritures.
Couverture du livre-©Uttarayan

Composante du projet Périph’Strip, une série de marches artistiques sur le périphérique de Toulouse, le récit polyphonique « Périphérique intérieur », paru fin 2014, fait l’objet de quelques manifestations de début d’année.
PeriphStrip-Tour-Operator

Urbain, trop urbain organise et anime un tour complet du périphérique de Toulouse en bus. C’est le samedi 20 septembre 2014, à l’occasion des Journées européennes du patrimoine. Le site www.periphstrip.fr vient d’ouvrir afin de présenter cet événement et de faciliter les réservations.
Photographie tirée de la série de Jean-Yves Bonzon, Autonautes en symbiose avec leur milieu

«Périphérique intérieur», cela sonne déjà comme un oxymore. Vous avez remarqué? «Périphérique intérieur». C’est le cœur et ses artères, c’est la cible et le snipper. C’est l’appariement du cheval blanc et du cheval noir de l’âme. Et comme notre état d’âme, le périphérique intérieur répète et invente, inlassablement.
Faits d'électricité – illustration de Micromegapolis

Tribune publiée dans « Libération » en vue du débat «Dessine-moi une ville comme il faut!» où Urbain, trop urbain proposera une série de réflexions d’écologie politique tirées de l’enquête Micromegapolis.